le nombre d’élèves s’accroit et De Taeye souhaite faire accéder le Conservatoire au niveau « royal », à l’instar de Bruxelles, Anvers, Liège et Gand. Une telle reconnaissance lui permettrait d’élever encore la qualité du corps professoral et d’améliorer son statut. la guerre 1940-1945 va retarder ses projets mais quelques années plus tard, en 1948, grâce à son acharnement, son tempérament absolu et son ambition, le Conservatoire de Mons deviendra Conservatoire royal. Il pourra ainsi donner au Conservatoire un nouveau souffle et créer de nouvelles structures ( chant, art lyrique, violoncelle, art dramatique, musique de chambre ) animés par des pédagogues renommés.